Vaccin Astrazeneca : des spécialistes pourraient enfin expliquer les cas de thromboses

Le vaccin Astrazeneca est pointé du doigt notamment à cause des cas de thromboses qui ont été identifiés dans plusieurs pays.

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Source : capture Pixabay

 

À la suite de ces découvertes, sans forcement établir un lien avec le vaccin, les pays ont décidé de le mettre de côté, ce que la France a également réalisé pendant quelques jours. Toutefois, des chercheurs souhaitent comprendre ces cas de thromboses, car sont-ils réellement imputés à ce vaccin ? Une étude a donc été réalisée par l’université allemande de Greifswald et cela permettrait de comprendre un peu plus ces différents cas.

Les problèmes de coagulation pourraient être évités

Depuis quelques semaines, des actualités peu réjouissantes sont partagées dans la presse et sur les réseaux sociaux. Vous pouvez alors apprendre que des cas de thromboses ont été identifiés dans plusieurs pays. Une revue scientifique selon L’indépendant a donc publié le fruit de cette étude réalisée par plusieurs chercheurs au sujet du vaccin Astrazeneca et des cas de thromboses.

  • Le vaccin est au coeur de plusieurs doutes, car il serait difficile d’établir un réel lien, il y a toutefois des soupçons.
  • C’est aussi pour cette raison que par principe de précaution, il a été décidé de mettre de côté ce vaccin contre le coronavirus.
  • Les chercheurs révèlent que les cas de thromboses se développeraient à cause d’un anticorps qui chercherait à agir comme si une plaie était identifiée.

En fonction des patients, certains symptômes seraient identifiés comme des saignements, un nombre assez faible de plaquettes ou encore des caillots sanguins. Les chercheurs révèlent que cet anticorps pourrait alors agir comme s’il était confronté à un cas de cicatrisation d’une plaie. Cela provoquerait alors des thromboses cérébrales, mais tous les patients ne semblent pas être touchés.

Ces derniers jours, l’étude a été relayée dans la presse et elle dévoile qu’un traitement pourrait déjà être proposé. En effet, pour que les cas de thromboses ne soient pas identifiés, il faudrait des immunoglobulines intraveineuses et des anticoagulants non hépariniques. Toutefois, le plus difficile semble identifier rapidement les cas de thromboses et ils sont souvent découverts lorsque le drame se produit.

Certains symptômes ne devraient pas être mis de côté selon le journal. Les personnes qui seraient victimes de ces thromboses auraient des effets secondaires liés au vaccin Astrazeneca. Ces derniers se traduiraient par des maux de tête assez sévère avec des manifestations neurologiques. Ce serait des signes avant-coureurs qu’il faudrait alors identifier après l’injection de ce vaccin.

La campagne vaccinale prend de l’ampleur en France

Comme le gouvernement a pu le préciser, pour tenter de sortir de la crise sanitaire, la meilleure solution concernerait le vaccin. Plusieurs doses sont disponibles en France, il n’y a pas que l’Astrazeneca, mais il est seul à être pointé du doigt à cause de ces cas de thromboses qui seraient donc identifiés à cause d’un anticorps qui réagirait d’une certaine façon. Toutefois, le gouvernement souhaite que la vitesse supérieure soit enclenchée pour que la campagne vaccinale puisse être beaucoup plus intéressante, performante et cela permettrait d’atteindre au plus vite l’immunité collective.

De ce fait, le gouvernement mise une bonne partie de sa stratégie sur le vaccin notamment à la suite de ce troisième confinement. Alors que les déplacements sont restreints, les autorités compétentes estiment que la vaccination pourrait prendre de l’ampleur au cours des quatre prochaines semaines, cela pourrait alors permettre au coronavirus de reculer.

Les conditions météo seraient aussi en notre faveur puisqu’elles limiteraient la propagation. Une année après le premier confinement très strict qui avait impacté durablement le quotidien des Français, nous sommes à nouveau concernés par de telles restrictions toujours pénibles à supporter, mais essentielles apparemment.